Auteur : Marie-France PHILIPPONNAT.
Tome 10 - Colonne 594
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Titre de l'article : MARIE-THÉRÈSE DE SOUBIRAN (bienheureuse), fondatrice, 1834-1889.
Début de l'article :
— 1. Vie et écrits.— 2.
Spiritualité.
Vie et écrits.
Notes, p. 69-70, 77-78). En juillet 1864, ses compagnes, accueillies à Toulouse par l'archevêque Julien Desprez, ouvrent la première « maison de famille » et continuent l'adoration nocturne commencée à Castelnaudary en 1862. En novembre 1868, Pie IX approuve les Constitutions ; en 1869 se succèdent les fondations d'Amiens et de Lyon, puis celles de Bourges (1871), Paris (1872), Angers (1873). En 1874, c'est l'épreuve. Marie-Thérèse est accusée par son assistante, Marie-François, femme intrigante et ambitieuse, d'être la cause de la ruine imminente de la congrégation. Sur le conseil de Charles de la Tour d'Auvergne, alors évêque de Bourges, et de P. Ginhac, tous deux trompés par les manoeuvres de l'assistante, Marie-Thérèse donne sa démission et se voit contrainte de quitter sa congrégation. Après un séjour de sept mois à l'hôpital de Clermont-Ferrand, elle est acueillie. en septembre 1874, dans la congrégation eudiste de Notre-Dame de Charité (cf DS, t. 8, col. 488 svv), où elle fait profession le 29 juin...
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