— 1. Quant à l'expérience de la « plaie d'amour » chez les mystiques, voir l'art. Blessure d'amour, DS, t. 1, col. 1724-29.

Aux autorités citées, on peut ajouter, parmi d'autres : saint Juan Bautista de la Concepción, trinitaire déchaussé † 1613 (DS, t. 8, col. 795-802, surtout 800-01 ; J. Pujana, « La Llaga de amor » según S. Juan B. de la C., dans Teología espiritual, t. 20, 1976, n. 58-59 ; t. 21, 1977, n. 61) ; — Jacques Nouet sj, L'Homme d'oraison, livre 6, entretien 6, t. 2, Paris, 1674, p. 322-37 ; — Honoré de Sainte-Marie ocd, Tradition des Pères… sur la contemplation, t. 1, Paris, 1708, p. 309-11 ; — témoignage, d'ailleurs peu original, de la bénédictine Maria Florida Roberti † 1718 (cf. sa vie par Girolamo Cherubini, Rome, 1722, ch. 35, 37 et 54).

2. Quant aux plaies du Christ et à la dévotion qu'elles ont suscitée, voir DS, t. 3, col. 768.

Voir aussi : Oswald Reinlein oesa, 15e s., De septem mortalibus laesionibus Christi Jesu in cruce (DS, t. 11, col. 1055) ; — La Perle évangélique, trad. franç., Paris, 1602, livre IV, ch. 6, f. 370-71 ; — L. Pinelli sj, Meditazioni delle cinque piaghe…, Venise, 1604 ; — L'ouverture intérieure du Royaume de l'Agneau occis dans nos coeurs…, « par un pauvre villageois… », Paris, 1660 (table) ; — Niccolò Promontorio, prêtre, Meditationi et soliloquii da farsi in recitare devotamente la corona delle cinque SS. Piaghe di N.S. Giesù Christo… (Paris, Piget, 1645) ; — Fr. Quaresmius, ofm † 1656, De SS. D. N. Jesu Christi quinque vulneribus, 5 vol., Venise, 1652 ; — L. Pagelli, sj † 1733, Sacri ritiri nelle Piaghe di Gesù, Venise, 1699 ; — L. Gougaud, Dévotions et pratiques ascétiques du moyen âge, Paris, 1925 ; — I. Bonetti, Le Stimate della Passione. Dottrina e storia della devozione alle cinque Piaghe, Rovigo, 1952.

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