Auteur : Alvaro HUERGA.
Tome 13 - Colonne 70
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Titre de l'article : RAMÍREZ (SANTIAGO), dominicain, 1891-1967.
Début de l'article :
— Né à Samiano (Treviño, Espagne) le 25 juillet 1891, Santiago Ramírez de Dulanto entra en 1908 au séminaire de Logroño ; il y habita la chambre occupée autrefois par le bienheureux Valentin Berrio-Ochoa (1827-1861) ; cette circonstance l'amena peu à peu au De hominis beatitudine.A partir de 1945, il vécut en Espagne (1945/47 à Madrid comme directeur de l'institut Luis Vives ; puis au couvent San Esteban de Salamanque). Ramírez fit partie de la commission théologique qui prépara Vatican II et fut
peritusdurant ce concile. Il mourut le 18 décembre 1967. Thomas d'Aquin fut son maître et son modèle ; il imita Cajetan et Vitoria en commentant ses oeuvres. Ramírez écrivit beaucoup mais publia peu. Une édition de ses
Opera omniaest en cours depuis 1972 à Madrid (30 vol. prévus). Arrêtons-nous ici aux écrits qui concernent la spiritualité. Dès 1921 un compte-rendu (dans
La Vida sobrenatural, t. 2, p. 75-80) du livre de A. Farges,
Les phénomènes mystiques(Paris, 1920) montre qu'il s'aligne sur J.G. Arintero dans le domaine de la distinction entre ascèse et mystique et dans la question de l'appel universel à la sainteté (cf. son compterendu des
Cuestiones mistícasd'Arintero,
ibid., p. 474-76, et son petit écrit
El mérito y la vida eterna, p. 94-103 et 271-80). La même revue publiera après sa mort
Presencia y ausencia de Dios(t. 69, 1969, p. 161-76 et 252-64). Parmi ses articles de revue, relevons :
El misterio de la
redención(dans
La ciencia tomista, t. 80, 1953, p. 255-74),
La Eucaristía y la paz(t. 79, 1952, p. 163-228) ; parmi ses livres,
Teología viva y vida teologal(1959),
La...
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