— On a présenté Michel Glabas comme l'auteur d'une chaîne scripturaire. En réalité, les termes employés par Manuel Philès pour décrire cette oeuvre perdue, ou du moins non identifiée, désignent plutôt un florilège ascétique ; il n'est nullement question d'exégèse, et le choix des auteurs montre clairement le but de la collection qui
E. Miller, Manuelis Philae carmina, t. 2, Paris, 1855, p. 230-233. — H.-G. Beck, Kirche und theologische Literatur.., p. 711 (d'après Krumbacher-Ehrhard, p. 212). — Sur la carrière de Michel Glabas, voir la notice de R. Guilland, dans Revue des études byzantines, t. 3, 1945, p. 191-194 ; et R. Janin, Églises et monastères (de Constantinople), Paris, 1953, p. 217-218.